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Galerie d'antiquités et d'objets d'art, tableaux anciens et modernes

19 juillet 2012

Commode d'époque Régence

Commode  XVIII e

Gay lussac 2 063

       Commode vivement cintrée, en bois fruitier, les trois tiroirs ornés de réserves en défoncé,encadrés de montants de même. Plateau débordant. Garniture en laiton. Avec sa clef. Travail régional du XVIIIe siècle         H  90 cm   L 118 cm  P 63 cm

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4 janvier 2012

Bronze à cire perdue de Richard Lefer

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Bronze à cire perdue signé de Richard Lefer, fondeur Godard numéroté 1/8

" femme nue debout "

H 28 cm

 

14 mai 2011

Oeuvre de Jules Coignet

Jules Louis-Philippe COIGNET 

1798-1860

" La Cascade "

Huile sur toile ovale, signé en bas à droite

Dim : 46,5 x 38,5 cm

coigniet_1_cachet_CoignetCachet de cire au dos.

 

     Jules COIGNET, Louis-Philippe

Paysagiste né à Paris en 1798, mort dans la même ville en 1860 ( école Française ).

Elève de Bertin, il séjourna assez longtemps en Italie où il peignit de nombreux paysages.

Sa réputation, assez grande de son vivant, ne lui a guère survécue.

Sa meilleure toile " Les ruines du Temple de Poestrum " figure à la Pinacothèque de Munich.

Il a publié un cours complet du Paysage.

Musée de Dunkerque : " Paysage ", " Une route du Tyrol ".

Nice : " Ruines d'un ancien château fort ".

Rouen : " Vieille maison " et " Laveuse ".

Saint-Ouen : " Vue de Suisse " ( aquarelle ).

Toulouse : " Ruines de Balbek ".

Versailles (Trianon) : " Site de Normandie ".

                                              E. BENEZIT

13 mai 2011

Oeuvre de Lucien Beyer

Lucien BEYER

1908-1983

" La fête Foraine "

Dim : H/T  65 x 92 cm

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La peinture de BEYER s'inscrit dans une perception nouvelle du monde ambiant qu'on aurait tendance, trop souvent, à baptiser abstraite, parce que l'oeuvre n'est pas immédiatement identifiable.

Lucien BEYER a fait partie du groupe « Témoignage » dont l'animateur était Marcel MICHAUX et qui fut composé de peintres illustres comme notamment Jean Bertholle, Jean Le Moal, de sculpteurs,  Etienne Martin, François Stahly, mais aussi d'écrivains et de musiciens. Marcel Michaud (1898-1958) rencontre également à Lyon en 1936 le docteur Malespine, correspondant très actif des activités " dada " et " surréalistes ".

Michaud multiplie les rencontres : Germaine Dulac, Marianne Oswald, Blaise Cendrars, Albert Gleizes, Etienne Martin, Le Corbusier, Ernst, Picasso et René Char.

Ce groupe dont fait partie Lucien BEYER profite des leçons du cubisme.

 René BRETEAU, qui fut le premier à réunir ces artistes, a noté quelques souvenirs émus de sa première rencontre avec Bertholle, Beyer, Le Moal, Manessier, Etienne Martin, Stahly.

« J'ouvrais une boutique rue des Canettes, au 9. J'y présentais des ouvrages d'artisans, des oeuvres de camarades de l'école et mes travaux. C'était triste. Le fils du maitre potier BEYER venait chaque jour me donner de son temps, nous parlions peu, il n'a jamais été bavard, moi non plus. Lui, connaissait des jeunes, voulait me les faire rencontrer ; il savait que je les aimerais... Un soir, nous sommes partis de la rue des Canettes pour la rue du Pot-de-fer. Au fond d'une vieille cour très émouvante, dans une vieille maison très délabrée, nous avons passé une porte ouverte sur un entassement de pierres, de bois et de toiles qui nous accrochaient de partout dans le noir... Cette nuit-là peut-être j'ai recommencé d'espérer et de croire. Au petit matin, j'ai dit que nous allions montrer ce qu'ils avaient fait. Je suis revenu rue des Canettes pour m'en occuper. J'ai fait le vide dans ma boutique et leur ai donné les cimaises pour d'inoubliables succès... La rue des Canettes a connu la foule en 1938, la rue Bonaparte en 1939. Puis, ce fut la guerre et le dispersement. »

 

12 mai 2011

Ecole Française du XVIIe Siècle

" Suzanne et les vieillards "

Dim : H/T   50,5 x 62 cm

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Suzanne et les vieillards (ou Suzanne et les deux vieillards ou encore Suzanne au bain) est un épisode biblique racontant qu'une jeune femme, Suzanne, surprise alors qu'elle prend son bain, refuse les propositions malhonnêtes de deux vieillards qui l'accusent alors d'adultère et la font condamner à mort. Mais le jeune prophète Daniel survient, prouve son innocence et fait condamner les vieillards.

 

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1 mai 2011

Eau-forte d'apès Jean-Baptiste Huet

 

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Eau-forte d'après Jean-Baptiste Huet, gravée par Demarteau

L’eau-forte est un procédé de gravure en creux ou taille-douce sur une plaque métallique à l'aide d'un mordant chimique (un acide). L’artiste utilisant l’eau-forte est appelé aquafortiste.

A l'origine, l'eau-forte était le nom donné à l'acide nitrique. « Cette appellation elle-même est celle de l’acide nitrique étendu d’eau : l’aqua-fortis des anciens alchimistes.». Aujourd’hui, l’acide nitrique est remplacée par des mordants moins toxiques, tels le perchlorure de fer.

L'eau-forte est un procédé de taille indirect (par morsure du métal par une acide), par opposition à ceux obtenus par taille directe (à l'aide d'outils tels burin ou pointe sèche). « En un sens général, l’eau-forte, qui est à la fois le procédé, la gravure sur métal et l’estampe obtenue par cette gravure, s’oppose aux autres procédés de taille-douce (ou gravure en creux), exécutés aux outils (burin, pointe sèche, manière noire). »

Parmi les différentes procédés d'eaux-fortes, on trouve l’aquatinte, la gravure au lavis ou la manière de crayon. Toutes désignent une technique de gravure où l’image est creusée sur une plaque de métal à l’aide d’un acide. Elles diffèrent en revanche par les outils ou vernis à graver utilisés.

Le principe est simple : sur la plaque de métal préalablement recouverte d’un vernis à graver, l'artiste dessine son motif à la pointe métallique. La plaque est ensuite placée dans un bain d’acide qui "mord" les zones à découvert et laisse intactes les parties protégées. Après nettoyage du vernis, la plaque est encrée et mise sous presse.

 

1 mai 2011

Oeuvre de Reynold Arnould

 

Reynold Arnould

1919 - 1980

 

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Reynold Arnould est un peintre français, né au Havre le 7 décembre 1919 et mort à Paris le 23 mai 1980.
Enfant prodige, il fait sa premier exposition à Rouen à l'âge de neuf ans. En 1933 Jacques Émile Blanche réalise son portrait (conservé au Musée des Beaux-arts de Rouen). Il étudie à l'école des beaux-arts du Havre et à l'âge de 20 ans (en 1939), il gagne le Prix de Rome. Il côtoie à Paris Jean Lecanuet qu'il avait connu au lycée Corneille. Il devient directeur d'une école d'art à Dallas au Texas en 1949.

En 1961, il inaugure la première Maison de la Culture dans sa ville natale et en 1964, il transforme une partie de l'aile nord du Grand Palais, à la demande d'André Malraux alors ministre des Affaires culturelles, en Galeries nationales destinées à recevoir de grandes expositions temporaires. Il est conservateur du musée Malraux entre 1952 et 1965.

Reynold Arnould a exposé au Salon de Mai, au Salon des Tuileries, au Salon d'automne, à la Galerie de France et dans les villes les plus importantes du milieu de l'art (New York, Londres, Dublin...).

Œuvre

Son style est tout d'abord cubiste, utilisant des couleurs profondes, puis s'oriente dans les années 50 vers une plus grande abstraction. Outre son sujet de prédilection (des portraits de femmes dans des intérieurs modernes), il a aussi peint des scènes allégoriques et des natures mortes et est connu en tant que muraliste.

Un film de Martine Lancelot, produit par Karin et Berthold Müller (Galerie Gimpel & Müller), sur un texte de Jean Lescure lui est consacré en 2001.

Wikipédia :http://fr.wikipedia.org/wiki/Reynold_Arnould

30 avril 2011

Forêt landaise

 

d'Eric BOURDON  (2009)

peinture à l'huile (couteaux) sur toile coton

format 8F, 46 X 38 cm

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